Le témoignage se poursuit…

Publié le par Anonymous

 

Quelles sont les nouvelles ??

 

Récapitulons.


Suite à la vaccination en trois rappels en 2009 du vaccin Gardasil, j’ai développé de nombreux effets secondaires. Année après année, j’ai vu mon état se dégrader. De nombreux symptômes sont apparus les uns après les autres.

 

En Juillet 2010, je passe divers examens au Service de Médecine Interne et de Maladie Infectieuses et Maladies Tropicales à l’Hôpital St Andrée à Bordeaux. Résultat : 0. On me conseille de vivre avec mes symptômes ou bien d’avaler des médicaments pour cesser des douleurs qui ne sont pas ciblées ni reconnues.

 

En septembre 2010, je fais l’Isothérapie du vaccin Gardasil via un médecin à Pons formé par Jelmiger. Est-ce que cela m’a aidé ? Je ne serais dire véritablement, j’ai eu une amélioration les mois suivant mais cela n’a pas tenu. Est-ce que sans l’Isothérapie mon état se serait dégradé plus rapidement ?... Je le pense.

 

En 2011, je vais à l’Hôpital Henri Mondor à Créteil (Paris) voir le Professeur FJ Authier spécialisé sur la maladie Myofasciite à Macrophages. En étudiant mon dossier il me répond que je devrais faire une biopsie musculaire du deltoïde gauche, le côté où les injections ont été pratiquée.

Partagé, je n’arrive pas à me décider à le faire. Cela fait 2 ans que j’ai été vacciné, est-ce que l’on va toujours trouver une marque d’aluminium dans mon épaule ? En voyant quelques témoignages passés, je vois qu’il y a peu d’amélioration après. On part pour faire une biopsie en espérant trouver de l’or et un traitement mais ce n’est pas toujours le cas. Le Dr FJ Authier me le confirme également.

 

Physiquement et moralement je suis fatiguée, je décide de passer à un mi-temps dans mon emploi pour faire la part des choses.

 

Malgré tout, je continue à chercher à me soigner…

 

Début 2012, je reviens au Service de Médecine Interne à l’Hôpital St Andrée à Bordeaux pour un deuxième suivi. Surprise, le responsable a changé pour la seconde fois. Nous reprenons depuis le début mes symptômes et refaisons des examens en séries.

 

Le jour du résultat, pire que médiocre. La responsable que je ne nommerais pas aurait pu avoir les pieds sur son bureau que ça aurait donné le même effet. Aucune écoute et aucune confiance. Elle m’explique que je ne suis pas la seule patiente dans ce cas à vivre une fatigue chronique sans qu’elle connaisse les raisons et que parfois la médecine ne peut pas donner de réponse. Que je devrais arrêter de me plaindre et de vivre avec.

Je tente d’insister de comprendre mais apparemment elle est hors d’elle.

J’ai déguerpi désespérément. Je ne devais m’attendre à aucun soutien.

 

Mi 2012, j’arrête tout. Examens médicaux, emploi… stop. Je n’en peux plus, je ne me reconnais plus. Je ne suis plus celle que j’étais. Vivante et rigolote.

 


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